Bon il est pourri et date de deux ans mais pauvre Mandas, tu t'affiches tout seul. Alors amie poète bonsoir (et au revoir à mon avis :p).
Lorsque vient la nuit et que de tes caresses tu m’enveloppe
A l’heure ou l’âme reposée et ouverte,
Je t’ouvre mon cœur et accepte mes faiblesses.
C’est dans mes bras que brûle notre passion,
Dans mes gestes que s’enthousiasme nos frissons,
Mais nul n’a de force face à une si dur réalité.
Ta bouche si savoureuse se transforme en une rose épineuse,
Quand tes mots me saignent et m’anéantissent.
J’étais là prêt, doux et entièrement à ta merci,
Je n’attendais pas que tu m’envoie en enfer de ta sensuelle voix.
Tu m’a abattu, dans la tendresse, perdu entre les draps.
Et maintenant mon cœur blesser n’ose plus espérer ;
Mes doigts effleurent ses larmes qui coulent,
Comme l’aveugle que je suis qui essaie d’y comprendre quelque chose.
Je cherche un sens, une excuse, une volonté à tes gestes,
A tes mots si durs qui n’ont laissé de moi que des restes.
Il ne pouvait exister d’amour idéal, l’esprit le savait,
Mais mon cœur avait ses raisons de te croire que j’ignorais.
Comment vivre sous ton regard avec ces maux qui me hantent.
Je ne suis qu’un fou qui s’est fait affabuler.
Mais comment vivre sans force dans la paume de mes mains ?
Anéantis par l’amour lui-même.